AETERNIA PATRIMOINE

Activité / Finances

Aeternia Patrimoine : des solutions personnalisées, réactives et différenciantes

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AETERNIA PATRIMOINE

  • 81, boulevard Pierre 1er - 33 110 Le Bouscat - France
  • +33 (0)6 74 09 64 28
  • romain.dagnano@aeterniapatrimoine.fr
  • www.aeterniapatrimoine.fr

Parce que les banques et les courtiers proposent des offres trop packagées et peu réactives, ce cabinet de conseil en gestion de patrimoine a choisi une autre approche. Il offre à ses clients, particuliers ou entreprises, et ce quel que soit le capital dont ils disposent, un accompagnement sur-mesure et des solutions source d’une forte rentabilité.
Placements financiers, optimisation fiscale, optimisation retraite... Romain D’Agnano, son dirigeant, nous donne de précieux conseils...

 

Aeternia Patrimoine...

... regroupe l’ensemble des compétences du Conseil en gestion de patrimoine puisque Romain D’Agnano est CIF (Conseiller en investissements financiers), mandataire en assurance, conseil immobilier, tandis que ses compétences juridiques lui permettent de délivrer du conseil.
Il travaille en architecture complètement ouverte, donnant accès à ses clients à tous les produits du marché. Aucun capital minimum n’est requis : « même si une personne n’a pas de capitaux à placer, elle dispose toujours d’une capacité d’emprunt » souligne-t-il. « La gestion de patrimoine concerne tout le monde, à chaque moment de sa vie : le patrimoine se construit, puis se gère, et enfin se transmet… ».

 

Qu’est-ce qui a présidé à la création de votre structure ?
Romain D’Agnano : Titulaire d’une licence en droit et d’un Master 2 en Gestion du patrimoine des particuliers, j’ai exercé pendant 15 ans au sein de deux banques en tant que Conseiller en gestion de patrimoine privé. La création de ma structure en 2018 répondait au désir d’une plus grande proximité avec la clientèle, d’une approche réellement sur-mesure et de stratégies adaptées au monde d’aujourd’hui. Ce qui implique une forte réactivité qui passe par une digitalisation optimale
.

C’est pourquoi votre cabinet fut dès le début à la pointe au niveau digital...
RD : Absolument, par exemple il est possible, si le client le souhaite, d’être en process entièrement avec signature électronique et d’effectuer les échanges de documents par mail. Cela me donne la possibilité de travailler facilement pour des clients situés en dehors de ma zone, et même à l’étranger. Et notamment les français expatriés et les non-résidents, souvent abandonnés par les banques et auxquels je propose des solutions appropriées.

« Avec la nouvelle loi PACTE, c’est le moment
de faire le point sur vos placements retraite ! »

Comment se décline votre offre ?
RD : Nous avons deux grands pôles : les particuliers et les entreprises. Aux premiers, nous proposons quatre offres principales : les placements financiers (assurance vie, comptes titres, PEA), l’investissement immobilier, l’optimisation fiscale et l’optimisation retraite. « Nous reviendrons sur les entreprises un peu plus tard ».

En assurance-vie, vous donnez accès à des solutions différenciantes particulièrement intéressantes. Pouvez-vous nous en citer un exemple ?
RD : vous savez sans doute que les contrats souscrits via une compagnie luxembourgeoise bénéficient d’un cadre règlementaire qui, grâce au super-privilège et à son triangle de sécurité, protège complètement l’épargnant à hauteur du capital versé, au lieu des 70 000 € garantis sur les contrats français. De plus, ces contrats d’assurance luxembourgeois permettent une plus grande liberté de gestion dans la mesure où l’on peut y intégrer des produits de placements qui ne sont pas valables dans les contrats d’assurance-vie français. Par exemple les fonds de Private Equity ou les fonds de gestion dédiée. On peut donc effectuer un vrai travail de gestion de portefeuille titres, et cela dans le cadre fiscal de l’assurance-vie.

Quid des autres placements ?
RD : Pour le client qui veut faire de la gestion financière, le PEA représente le produit-phare. Peu utilisé en France, il possède pourtant un cadre fiscal très avantageux et, de plus, la loi PACTE qui sera prochainement mise en oeuvre assouplira certaines règles et développera l’accès au PEA-PME.
Cette loi revoit également tous les placements retraite - article 83, PEA, contrat Madelin... - lesquels pourraient être intégrés dans un nouveau contrat d’épargne retraite. Étant donné les changements importants à attendre sur ces solutions, c’est le moment de faire le point !

Plus généralement, que préconisez-vous en matière de retraite ?
RD : Je propose plusieurs stratégies qui peuvent être cumulatives : le recours au crédit, par exemple, est idéal pour constituer un capital vu les taux d’intérêt extrêmement bas des banques.
D’ailleurs, quel que soit l’objectif d’investissement, il serait vraiment dommage de ne pas utiliser aujourd’hui 100 % de cette possibilité d’emprunt pour se créer un capital (immobilier, revenus complémentaires retraite...). Ainsi j’utilise énormément le recours au crédit pour acheter des portefeuilles de SCPI. Ces placements présentent l’avantage de générer des revenus à long terme sans aucune gestion par le client. Pour les particuliers, ces opérations ne sont pas faciles à monter en direct auprès des banques ou des courtiers, tandis que je mets à disposition de ma clientèle une solution bien rodée.

« Les solutions d’optimisation fiscale
sont plus nombreuses qu’on ne le croit. »

Sur le sujet de l’optimisation fiscale, les Français ne sont pas toujours bien informés des nombreux dispositifs existants...
RD : Les dispositifs sont en effet variés pour effectuer des investissements générateurs d’optimisation fiscale et de réduction d’impôt ; l’objectif étant d’utiliser les ressources dégagées pour se constituer un patrimoine. S’ils étaient tous exploités, on optimiserait bien des situations !
Je citerais bien entendu les lois dans l’immobilier (Pinel, Malraux…), à sélectionner en fonction de la fiscalité du client, mais également les souscriptions sur des fonds dans des sociétés innovantes ou des fonds d’investissements de proximité.
En matière d’immobilier, j’offre un accompagnement complet. Sur la recherche de crédit par exemple, je travaille avec des courtiers bien positionnés afin de trouver les meilleures conditions de financement pour chaque client. Rien à voir avec les offres packagées du marché !

Vous dites que certaines solutions immobilières dérogent à l’IFI. Comment est-ce possible ?
RD : On peut effectivement avoir recours à des solutions de placement qui ne rentrent pas dans le cadre de cet impôt, y compris en ayant des sous-jacents immobiliers. Il existe des placements dans des fonds immobiliers hors IFI, par exemple l’achat de nupropriété de SCPI, et bien d’autres encore...
Le client est gagnant sur tous les plans : il bénéficie des taux de rendement attractifs et robustes de l’immobilier, plus rémunérateurs qu’un fonds euro, et moins volatiles que les marchés financiers, et ce tout en évitant l’IFI.

Et aux entreprises, quels conseils donneriez vous ?
RD : J’estime qu’il leur faut optimiser la trésorerie « dormante » à court, moyen ou long terme. Malheureusement, lorsque les directeurs de PME/TPE ou les DAF de grandes sociétés vont voir leur banquier pour le placement de l’épargne de l’entreprise, une seule et unique solution leur est proposée : faire du dépôt à terme. Et, compte tenu des taux d’intérêt actuels, ils sont extrêmement contents lorsqu’ils se voient offrir du 1 %...

Encore une fois, vous vous distinguez avec des offres habilement élaborées...
RD : Il existe en effet d’autres solutions de placement comme l’achat de revenus issus de l’immobilier ou l’investissement en Private Equity et immobilier au travers de fonds professionnels spécialisés. Ceux-ci sont trois fois plus rentables que les placements à terme classiques. Bien entendu, il s’agit d’ingénierie patrimoniale un peu complexe, mais nous sommes au service des clients pour leur offrir ce type de solutions.
Nous travaillons également en étroite collaboration avec une banque privée permettant d’accompagner nos clients sur des opérations de capital Développement via le pilotage de levées de fonds, l’élaboration de stratégies de croissance à destination des chefs d’entreprise, ou encore des opérations de LBO (rachat avec effet de levier), montage financier permettant le rachat d’une entreprise par le biais d’une société holding, à destination de salariés qui veulent racheter leur entreprise sans détenir les fonds suffisants.

    How to Use:

    Charly GAILLARD débute sa carrière professionnelle à 17 ans, tout en menant de front ses études supérieures. Très rapidement, il multiplie les expériences au sein de diverses entreprises telles que Veolia Eau, Eurostar ou encore AccorHotels, où il exerce des fonctions à responsabilités, le plus souvent dans un contexte international. En 2013 et après 10 ans de salariat, Charly GAILLARD décide de créer son propre cabinet de conseil, Sneakers & Jackets.