Et si votre marque s’affichait autrement ? Depuis 2003, ObjetRama, leader français de la vente à distance d’objets publicitaires aux entreprises, administrations et associations, vous garantit une offre sur-mesure pour satisfaire vos besoins.
Gérard Durieux, Président-Fondateur, nous explique comment ObjetRama est devenu n°1 de son secteur.

Quelle est la génèse d’ObjetRama ?
Gérard Durieux : ObjetRama est ma deuxième expérience de ce type d’entreprise. La première était basée sur 2 ou 3 fournisseurs mais pour ne plus être trop dépendant d’eux, j’ai préféré construire ObjetRama avec une multitude de fournisseurs dès le départ.
Aujourd’hui, nous en avons une cinquantaine qui nous permettent de distribuer plus de 16000 références en B2B. La collection traditionnelle à base de stylo, tee-shirt, calendrier, tote bag reste inchangée mais s’est complétée avec des clé usb, des enceintes Bluetooth, etc.

Aujourd’hui, vous êtes leader sur ce marché. Comment l’expliquez-vous ?
Gérard Durieux : Notre chiffre d’affaires progresse de 20 % par an, parfois même 35% ; de 28 millions de CA en 2019, nous devrions atteindre les 33 M€ cette année.
Notre gestion très humaine de la relation client est notre force : en direct avec des commerciaux qui répondent en 3 sonneries maximum, les clients reçoivent les propositions établies par des infographistes dans les 2 heures. Nous prenons le temps et proposons de vraies compétences humaines pour mieux séduire et satisfaire nos clients, contrairement à nos concurrents qui emploient beaucoup moins de salariés.
Chez ObjetRama, nous pouvons compter sur plusieurs ateliers de marquage français, qui sont des partenaires de confiance depuis de nombreuses années. En ces temps difficiles pour l’industrie française, conséquences de l’épidémie de COVID-19, nous avons réellement à cœur de confier les commandes de nos clients à ces entreprises locales, d’autant plus qu’elles produisent toutes des marquages de grande qualité.

L’humain est la clé de la réussite ?
Gérard Durieux : C’est même la clé de voûte, surtout à l’heure du digital, et encore plus pour une société de vente à distance. Notre société est encore très paternaliste, notre personnel travaille dans le confort de locaux spacieux et agréables. Nous portons une attention très particulière à ce qu’il y ait toujours une bonne ambiance. La culture du chiffre instaurée dès le départ y est aussi sûrement pour quelque chose. Pour l’anecdote, dans les open-space, des écrans affichent les chiffres de ventes et dès qu’un objectif mensuel est dépassé, tout le monde lance des feuilles en l’air, danse autour des tables comme à Cap Canaveral lors des lancements de fusée !
De plus, c’est également grâce au formidable engagement de nos collaborateurs que nous avons été capables de poursuivre notre activité tout au long de ces mois de confinement. Cela s’est traduit par le maintien de notre proximité avec nos clients, ainsi que l’ajout rapide et efficace à notre collection de produits dédiés à la sécurité sanitaire.

Antoine Aranda, DG et Directeur du Développement, quelles sont justement vos prochaines missions ?
Antoine Aranda : Présents au Luxembourg et en Belgique, nous projetons d’ouvrir un bureau en Allemagne avec une équipe locale et un catalogue adapté d’ici fin 2021. Nous visons aussi les pays d’Afrique francophones. Tout ça en continuant aussi d’évoluer au niveau technique en développant la visio-conférence avec les clients.

Stéphanie Willem, Directrice Marketing, vous arpentez les salons à la recherche de nouveautés. Quelles sont les prochaines tendances ?
Stéphanie Willem : Les produits éco-responsables et durables affirment plus que jamais leur présence sur les salons, et c’est une tendance dont nous nous réjouissons ! Nous voyons émerger de nouvelles matières comme la paille de riz, le bambou et la fibre de blé par exemple. Nous constatons une véritable prise de conscience vis-à-vis du plastique, celle-ci étant cohérente avec l’adoption progressive de lois visant à limiter son usage. Les annonceurs s’orientent plus volontiers vers des mugs en bambou, des bouteilles en verre ou encore des gourdes en métal. Les produits high-tech ne sont pas en reste : les mini enceintes et les clés USB sont désormais habillées d’une coque de paille de blé ou de bambou. Non seulement l’impact pour l’environnement est moindre, mais ces nouveaux designs distillent un certain renouveau pour certains produits qui n’avaient jusque-là que peu évolués.